27 mars 2019
Luxleaks et Panama Papers sur l’évasion ou l’optimisation fiscale, Cambridge Analytica sur la manipulation du référendum sur le Brexit, au Royaume-Uni… Dévoiler des scandales n’est pas toujours sans conséquence, comme en témoigne la presse, qui en fait fréquemment étalage. Après presque un an de négociations, un accord provisoire a été signé le 15 mars dernier en région bruxelloise. L’accord doit encore faire l’objet d’un vote au Parlement européen et au Conseil de l’Union européenne, qui représente les États membres. Ces derniers auront deux ans pour transposer la directive. L’article de Marie Julien présente brièvement quelques réactions et fait état de l’importance que cette décision revêt pour la démocratie.
Source : Le Devoir, Agence France-Presse – Consulter