12 mai 2022
Les finances publiques québécoises risquent d’être menacées par une dette difficile à soutenir, créée par le vieillissement de la population. Grâce à des simulations effectuées avec SimFin et SimGen, on découvre qu’une augmentation de la diplomation universitaire des Québécois pourrait amoindrir les répercussions financières futures. En effet, si le taux de diplomation chez les 35 à 44 ans augmente de 5 % en 2050, la part de la dette brute du PIB du Québec chuterait de 2 %. Elle chuterait davantage, soit à 5 %, si le taux de diplomation atteint 10 %. Cet effet positif sur les revenus affecterait peu les dépenses de l’État québécois.
Source : CIRANO – Consulter