5 mai 2020
À partir d’entretiens qualitatifs avec des acteurs publics, les auteurs tentent d’expliquer pourquoi le Supplément à la prime au travail (SPT) a pris la forme d’une mesure sociofiscale gérée par trois organisations publiques (ministère des Finances du Québec, Revenu Québec et ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale). Ils analysent ensuite les effets d’une gestion horizontale, c’est-à-dire interorganisationnelle, sur le suivi et l’évaluation de la performance de la mesure. Ils concluent à un décalage entre les responsabilités officielles et officieuses pour l’évaluation du SPT et entre les intérêts des organisations impliquées dans l’évaluation.
Source : Institut d’administration publique du Canada (IAPC) – Consulter