6 décembre 2021
Malgré une protection accrue des lanceurs d’alerte, plusieurs lacunes demeurent. C’est la conclusion à laquelle sont arrivés trois chercheurs de l’Université du Québec à Chicoutimi. Leur article pose un regard sur l’encadrement légal du processus de divulgation et examine comment le droit protège les lanceurs d’alerte des secteurs privé et public, tant au Québec qu’au Canada. Pour ce faire, ils nomment d’abord les différentes formes de divulgation et leur légitimité, puis relèvent l’ensemble des mesures légales adoptées au Québec et au Canada.
Source : Revue Organisations & Territoires – Consulter